שיעור מ 25 אפריל 2018
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Fetes/Calendrier
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La signification de Lag BaOmer
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Au milieu de la période du Omer, il y a une station, le mois d’Iyar (Eretz Israël et Yeroushalayim), le retour d’Israël sur sa Terre.
Un retour physique et spirituel, la lumière de Rabbi Shimhon Bar Youhay, la lumière du Zohar, une Torah du klal et non de l’individu.
A Hanouca nous allumons à quelques dizaines de centimètres du sol, à Lag Baomer le feu touche le sol. L’embrassade entre l’infini et le fini.
Lien entre Lag Baomer et Tou Béav, un dénominateur commun au rajout vie.
A Tou Béav, plus de mort dans le désert après la 40ème année.
A Lag Baomer, les 12000 paires d’élèves de Rabbi Akiva sont morts d’un trait du premier jour du Omer jusqu’au Lag Baomer.
A ces deux dates, les Chéhina est revenu petit à petit, y a eu donc un supplément de vie.
Le mois d’Iyar, le tétragramme apparait suivant l’acrostiche suivant : Ythalel Hamithalel Haskel Véyadoha, deux fois la notion de Hallel (complet), Yom Haatzmaout et Yom Yeroushalayim.
Rabbi Shimhon Bar Youchai, s’est caché avec son fils Rabbi Elhazar dans une grotte, dans le plus profond de la matière, a dévoilé le Hole (le sable et le profane), dévoilé le secret du divin dans le profane.
Toute la période de Lag Baomer, 32 (du début de Pessah au Lag, acquérir le Lev) plus 17 (du Lag à Chavouot, devenir bon), Lev Tov.
Lag Baomer tombe le Hay Iyar, le jour de la vie, donc les élèves de Rabbi Akiba sont arrêtés de mourir ce jour-ci.
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