שיעור מ 24 מרץ 2012
01H 14MIN
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Fetes/Calendrier
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Le compte du omer et la notion du temps
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On ne récite pas Shéhéhiyanou pour la Sfirat Haomer, car d’après le Hari Zal, il s’agit de la grande lumière du premier soir de Pessah, qui nous a fait sortir d’Egypte, qui nous a fait avancer durant 50 jours, jusqu’֙à Chavouot.
A Pessah, nous avons reçu cette lumière gratuitement. Et à Chavouot, nous allons recevoir cette lumière par notre travail durant toute la période du Omer. On doit corriger nos mesures.
Le mois d’Iyar se situe entre la libération de la Nation (libération physique) au mois de Nissan, et la libération spirituelle, au mois de Nissan : une nation donc liée aux valeurs divines.
Yom Haatzmaout précède Chavouot, car il n’y pas de Torah sans Nation d’Israël sur sa terre.
Ne pas dire le Hallel est retirer Achem de la dimension de la Nation d’Israël souveraine et indépendante sur sa terre, et détacher les valeurs de la Torah de l’état d’Israël.
Le mois Iyar, Ani Achem Rofhécha, le mois de la guérison, où le peuple d’Israël guérit de l’exil, en rentrant et retrouvant sa nature, et réaliser la volonté divine, en rentrant sur sa terre en tant que nation souveraine et indépendante.
Iyar initiale d’Avraham, Itzhak, Yaakov, et Rachel, le potentiel réalisé. Rachel représentant la Malchout, un potentiel caché qui a été réalisé.
Le mois d’Iyar, le tétragramme apparait suivant l’acrostiche suivant : Ythalel Hamithalel Haskel Véyadoha, deux fois la notion de Hallel (complet), Yom Haatzmaout et Yom Yeroushalayim.
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