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La gueoula - Le choix dans la Terre d’Israel
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Yémé Bikourey Hanavim, les explorateurs devaient réparer la faute d’Adam Harichon, car d’après le Zohar, l’arbre de la connaissance était une vigne.
Les explorateurs ont montré que les branches de la vigne avaient un goût diffèrent des raisins, et donc ont rapporté que la terre d’Israël n’est pas supérieure aux autres terre, et ont raté leur mission. Cela a causé plus tard, que l’on va pleurer gratuitement, le jour de Ticha Béav.
Le fait que le fruit (le corps) n’a pas le même goût que la branche (la source, la Néchama).
Il y a donc perte entre le potentiel à réaliser et l’action de l’homme, c’est-à-dire entre la source et le résultat.
Trois degrés de la faute de l’homme :
Hita, les 22 lettres de l’alphabet, perturber l’intériorité de la langue, donc la vie.
Guéfen, ou se cache le potentiel du vin, donc perturber le secret de la vie.
Téhéna, d’avoir perturbé le secret de partager, l’égoïsme avec un désir de recevoir.
Si on croit qu’Eretz Israël est superficielle, on sépare l’arbre du fruit, et on va juger suivant les résultats visibles, sans avoir une vision et une compréhension profonde.
D’après le Zohar, la faute du premier homme et de ne pas avoir étudié les secrets de la Torah, d’avoir perturbé le raisin, de ne pas avoir goûté au jus intérieur du raisin, au vin, représentant le secret. Et de nos jours, ne pas étudier le Zohar, entraîne de ne pas comprendre les profondeurs de la terre d’Israël, et de la juger superficiellement, et donc de préférer les autres terres.
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