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La periode des trois semaines
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שיעור מ 04 יולי 2018

01H 26MIN




תקציר השיעור:
La réparation des deux fautes, celle du 17 Tamouz et du 9 Av.
Meitzar, une prison, de l’eau qui ne circule pas, le Mi qui est emprisonné, une forme du non-vision de l’entier.
La sagesse divine supérieure à toutes les autres sagesses, est capable de transcender et transformer celui qui la lit.
Cette sagesse, est l’arbre de la vie, ‘’Hetz Haïm’’, un conseil de vie.
Pleurer pour le Horban ne sert à rien, mais il faut pleurer pour comprendre le problème, comment corriger ce qui a amené le Horban.
Pleurer en Exil et d’attendre le Machiah est un non-sens, un dénie, une maladie, il faut être actif, nous devons travailler et fabriquer le Machiah.
Trois fois par jour nous disons, Achem, ouvres-mes yeux pour voir ceux qui reviennent à Zion : le but est d’être acteur et non spectateur.
Le 17 Tamouz, nous avons eu peur de graver les paroles divines sur des tables, il fallait donc briser ces tables.
Le 9 Av, les explorateurs ont parlé du mal sur la Terre d’Israël, et ont poussé le peuple d’Israël à rester dans le désert, c’est-à-dire dans leur exil, au lieu d’accéder à la Terre d’Israël, car c’était la volonté de l’Eternel.
C’est au peuple d’Israël de corriger ses fautes qui lui ont coûté son Exil et de quitter son Exil, de revenir vers sa Terre, et dévoiler les valeurs de l’infini sur cette Terre.
On ne peut pas se développer, dans tous les domaines, en dehors d’Israël, au niveau collectif et même individuelle.
Une terre étrangère est considérée comme impure. Téméha de la même famille que Atimout, qui veut dire imperméable, au dévoilement de la lumière divine, les gouttes du Ciel ne peuvent pas pénétrer sur un manteau imperméable, des gouttes de pluies qui ne rentrent pas dans le Nefech de l’homme, c’est une Torah superficielle qui ne nous fait pas revenir vers notre naturel.
Trois fois par jour nous disons, Achem, ouvres-mes yeux pour voir ceux qui reviennent à Zion : le but est d’être acteur et non spectateur.
On ne peut pas atteindre une plénitude dans l’étude de la Torah, c’est une Torah auquel il manque le degré de Malchout, une Torah sans Royauté. Une Torah à laquelle il manque le dévoilement, la concrétisation de cette Torah, dans tous les aspects d’un peuple sur sa terre.
Le Olam Haba, est un monde caché de nos yeux, dans un autre degré de compréhension, de l’ordre de la Néchama.
Le Olam Hazé, le monde palpable, celui que nous pouvons toucher, appréhender.
La peur de faire le lien entre ces deux mondes, entre le degré de la Néchama, et de celui qui la cache et qui la couvre, a causé l’Exil. Cela veut dire d’étudier une Torah qui fait le lien entre le Ciel, le peuple d’Israël et la Terre d’Israël, et qui nous aide à faire le lien entre les valeurs de l’infini et du fini.
21 jours, dans cette période de Ben Hametzarim, le nom Ehyé d’Hakadoch Barouch Hou qui apparait au mont Sinaï lorsque Moché, avant le don de la Torah.
Ehyé, Ani au futur, c’est-à-dire il y a un futur, une note optimiste qui prévoit qu’Hakadoch Barouch Hou sera avec nous, jusqu’à la fin des temps.
Pour ne pas rester dans cette défaite de ces 21 jours, pour réveiller en nous un certain espoir de reconstruction, nous ne devons pas répéter les fautes du passé. Nous devons aider l’infini à quitter le Ciel c’est-à-dire son Exil et à descendre sur Terre. Avoir la conscience que le peuple d’Israël ne peut se développer pleinement en dehors de sa terre, et d’étudier une Torah sans Malchout, considéré comme un homme sans épouse.
On ne peut pas se développer, dans tous les domaines, en dehors d’Israël, au niveau collectif et même individuelle.
Etudier la Torah de façon non profonde, la Torah du corps, est une étude superficielle, circulaire, de la nature, que le comment et pas le pourquoi.
Associer une Torah de droiture, de profondeur, du pourquoi (la Torah du secret, de la Néchama) à celle du comment, va nous aider à comprendre l’actualité, la Torah de la vie et de la Nation d’Israël, et non d’un individu religieux. Et par cette profondeur, on va avoir une vision beaucoup plus globale, et accompagner l’époque messianique d’une façons beaucoup plus optimiste et profonde, en ne s’arrêtant pas aux apparences extérieures parfois pas décevantes (alors que la Néchama de la nation d’Israël est pure).
Nous n’avons pas le droit de sombrer au milieu des crises, nous devons marcher et avancer.
Les deux temples de Yeroushalayim, l’un était esprit et l’autre corps, et le troisième va réunir l’esprit (la Néchama) et la matière (le corps) et sera éternelle.
Béréchit (construction), Tohu Bohu (destruction), et Yéhi Or (reconstruction).
Ce rythme revient dans plusieurs degrés de notre vie et dans la délivrance du peuple d’Israël.
Les Tekihot du Chofar commencent et se terminent par Tékiha (un son parfait de l’éternité, une totalité au début et à la fin) : construction et reconstruction.
Au milieu, toutes les crises, Chévarim et Térouha : destruction.
Nous n’avons pas le droit de sombrer au milieu des crises, nous devons marcher et avancer.
Le dernier temple sera beaucoup plus grand que le premier temple.
Dans les évènements de notre vie également trois étapes : construction, destruction et reconstruction.


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