שיעור מ 02 דצמבר 2018
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La fete de Hanouca
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Le triangle est la forme parfaite de dévoilement de l’infini dans le fini (Chana - temps, Olam - espace, et Nefech - être).
A Hanouca, on renforce nos certitudes (la lumière) par rapport à nos doutes (le noir), et la Emouna se renforce par rapport aux doutes de nos vies.
Vayéhi Hérev (la nuit, le noir, où tout se mélange) Vayéhi Boker (le jour, la lumière, un tri, quelque chose de clair) : une chute nécessaire pour reconstruire.
Yaakov a instauré la prière de Arvit, le secret de la Emouna tant qu’il fait nuit.
Hanouca est une fête qui nous éduque.
Pas de Talmud spécifique à Hanouca, on a relié Hanouca à Chabat.
Les mèches et les huiles pour allumer les lumières de Chabat.
Chabat et Hanouca sont du même niveau, ils dépassent la nature qui est bloqué dans un système, comme un degré hors nature qui arrive dans notre monde.
Chabat et Hanouca liés au chiffre 8 qui est relatif à l’infini.
Il faut découvrir le 8 qui se cache dans le 7 (le Chabat dans le septième jour), c’est de cet ordre-là que descend la lumière dans ce monde, la lumière de Hanouca.
Le chiffre 8 qui est l’infini descend dans le chiffre 7 étant le monde de la nature et apparait dans les lumières de la Ménora.
Talmud dans traité de Chabat (page 21), le 25 Kislev, c’est-à-dire le premier jour de Hanouca contient huit jours, possibilité de placer l’infini dans un monde fini
(25 Kislev, 2+5 =7, la nature).
Hanouca se situe dans la période de l’équinoxe d’hiver, moment où la lumière est plus faible et commence à augmenter. Les lumières de Hanouca nous aident à surmonter ce moment transitif.
Le 8 descend vers le 7, donc le premier jour est un non-temps, et tout au long des 7 autres jours, le 8 descend vers le temps.
Les lumières de Hanouca allumées du bas vers le haut, sont dans l’ordre du huit, donc elles ne nous appartiennent pas, elles sont Kodech (c’est le 8), et donc on ne peut uniquement les voir.
Hanouca se situe dans la période de l’équinoxe d’hiver, moment où la lumière est plus faible et commence à augmenter. Les lumières de Hanouca nous aident à surmonter ce moment transitif.
Véhaaretz Hayta Tohou Vavohou Vehochech Hal Péné Téhom : les ténèbres, le noir, cela représente l’exil de Grèce.
La Grèce vient annuler la mémoire d’Israël (Chihécha, l’oubli, de la même famille que Hochech).
Yavan égale à 66, veut être supérieur au tétragramme dévoilé dans la nature, donc être supérieur à la royauté divine, la Malchout).
Yavan a introduit en nous l’individualité, l’égoïsme, les doutes sur notre souveraineté sur notre terre.
La Grèce vient faire un écran entre l’extériorité et l’intériorité, c’est-à-dire d’empêcher le peuple d’Israël d’approfondir les secrets de la Torah.
Les Grecs voulait empêcher Israël à faire le lien entre le 7 et le 8, et être bloqué dans la matière.
Az Yachir, 1 avec le 7, y a plus de notion de temps et d’espace.
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