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Lag BaOmer - la Torah des secrets
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La période du Omer, relie Pessah à Chavouot.
A Chavouot, nous récupérons la lumière reçue à Pessah gratuitement (pour nous faire sortir et qui a disparu en laissant une trace), que nous avons travaillée pendant toute la période du Omer.
Cette lumière est de l’ordre du 50 (de l’ordre de l’infini) revient pas à pas, chaque jour du Omer jusqu’à Chavouot.
Au milieu de cette période, il y a une station, le mois d’Iyar (Eretz Israël et Yeroushalayim), le retour d’Israël sur sa Terre.
D’après le Gaon de Vilna : Adam, acrostiche de Adam, David, et Machiah. David se situe entre Adam et Machiah, David en 2854, donc le Machiah en 5708, l’année de l’indépendance d’Israël.
Au mois d’Iyar, Israël est délivré par l’intervention humaine. Délivrance active, Israël active est associé à sa délivrance. Délivrance du bas vers le haut. Il s’agit de la fête de Pessah Chéni (un Pessah de l’homme, car Chéni représente la dualité, le monde de l’homme).
La seule fête qui a une session de rattrapage est Pessah, avec Pessah Chéni, car on ne peut pas recevoir la Torah si on n’appartient pas à la nation, en participant au Korban Pessah.
Lien entre Lag Baomer et Tou Béav, un dénominateur commun au rajout vie.
A Tou Béav, plus de mort dans le désert après la 40ème année.
A Lag Baomer, les 12000 paires d’élèves de Rabbi Akiva sont morts d’un trait du premier jour du Omer jusqu’au Lag Baomer.
A ces deux dates, les Chéhina est revenu petit à petit, y a eu donc un supplément de vie.
Un retour physique et spirituel, la lumière de Rabbi Shimhon Bar Youhay, la lumière du Zohar, une Torah du klal (incluant le minérale, le végétal, l’animal, et l’humanité tout entière) et non de l’individu.
A Hanouca nous allumons à quelques dizaines de centimètres du sol, à Lag Baomer le feu touche le sol. L’embrassade entre l’infini et le fini : pénétration de la lumière au plus profond de la matière.
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