שיעור מ 15 יוני 2010
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Paracha
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Processus de la rédemption et création du monde #4
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Le messianisme n’est pas religieux mais politique.
L’étude de la Torah en Israël englobe plus de sujets et est plus large qu’en exil, car en exil il n’y a pas de soucis au niveau de la nation, de sa sécurité, il de sa monnaie, de sa politique, de son armée, et de sa structure économique.
Le judaïsme en exil se cantonne juste à des relations religieuses par rapport à l’Eternel.
En exil, on pratique les Mitzvot à l’échelle individuelle et communautaire, tandis qu’en Israël, l’étude de la Torah et la pratique des Mitzvot sont appliquées au nom de la Nation d’Israël et tient compte de toutes ses structures économiques, politiques, sécuritaires et militaires.
Le rassemblement des exilés signifie le début du processus de la Guéoula.
Rester en exil est l’antithèse d’Israël, et lorsque le peuple d’Israël ressentira cette santé morale, spirituelle, physique et physiologique, et cela voudra dire que ce peuple sera guéri de la maladie de l’exil, qui a fait sombré Israël dans l’imagination, dans l’idée qu’il sera coincé à vie dans cet état d’exil.
D’après le Gaon de Vilna, en retournant en Israël, on ressuscite du cimetière de l’exil.
Le triangle est la forme parfaite de dévoilement de l’infini dans le fini (Chana - temps, Olam - espace, et Nefech - être). Le Emet embrasse ces trois niveaux.
Deux étages par rapport à la Nation d’Israël : la Ségoula, l’étage de l’idéal, se trouvant dans les profondeurs de la Néchama d’Israël en tant que peuple, et l’étage d’en-bas, l’étage de la réalisation (de l’étage supérieur), de la Béhira (du choix).
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